« Lèves toi de sous les décombres » un graffiti d’un homme pendu dans le quartier de Geymezeh, à Beyrouth, au Liban. Tiré d’un poème de Nizar Kabbani et chanté par Majida El Roumi, cette phrase appelle Beyrouth à se lever de sous les décombres malgré la guerre, de l’explosion du 4 août et de la crise économique.